BEAUSSIER BASSET

Emmanuel Augustin BEAUSSIERÂge : 23 ans18911914

Nom
Emmanuel Augustin BEAUSSIER
Prénom(s)
Emmanuel Augustin
Nom de famille
BEAUSSIER
Naissance 8 mars 189119:00 39 39
Décès du pèreAuguste Louis BEAUSSIER
vers 1901 (Âge 9 ans)

Décès de la mèreErnestine Catherine Eugénie PERRAULT
vers 1901 (Âge 9 ans)

Décès de la grand-mère maternelleEugénie Séraphine PROUCHETTE
17 mai 1909 (Âge 18 ans)
Militaire
Registre matricule
1911 (Âge 19 ans)
Note :

Incorporé à compter du 09/10/1912 au 94è RI. Passé au 1er R de Zouaves le 10/09/1913. Parti et rayé des controles le 01/10/1913. Incorporé au 1er R de zouaves à compter du 01/10/1913 (RZM). Opérations militaires dans le Maroc occidental (en guerre) du 04/10/1913 au 30/08/1914. Contre l'Allemagne du 31/08/1914 au 14/11/1914. Blessé le 03/11/1914.(probablement lors de la première bataille d'Ypres, en belgique). Décédé le 14/11/1914, hôpital auxiliaire n° 34 à Compiègne.

Note :

L'hôpital auxiliaire 34, dit de La Compassion

Cet hôpital de la Croix Rouge dépendant de la Société de Secours aux Blessés Militaires était situé au 18 rue de la Sous-préfecture, à l'emplacement actuel de l'école Sévigné. Hilarion Ligouzat le décrit ainsi : « Il se compose de deux parties distinctes, un bâtiment mitoyen à d’autres constructions accolées, en façade sur la rue de la sous-préfecture et où la Société de Secours aux Blessés Militaires avait dès letemps de paix un dispensaire école aux salles de visite, de stérilisation, de pansements, d’opérations ; un autre bâtiment en retrait séparé du précédent par une cour et formant une aile dans des constructions occupées par une communautéreligieuse. » (sœurs de La Compassion, voire ci-après). « Le dispensaire, sans aucune modification notable a servi d’atelier chirurgical. Il était sans luxe mais non sans confort, salles peintes à l’huile, claires, chauffées à la vapeur sous basse pression avec toutefois un éclairage médiocre ». « Les salles d’hospitalisation proprement dites servaient à un ouvroir ; pour y loger les 50 lits prévus il a fallu les sur peupler ; il convient de dire qu’une ventilation facile compenserait en quelque manière les imperfections de locauxd’aille urs agréables. » « Il reçoit les grands blessés justiciables d’interventions complexes. » Pour cela, l’ambulance 8/13 a détaché un officier chirurgien à La Compassion et le professeur agrégé de médecine Langlois, envoyé depuis Paris, y a passé une huitaine dejour s.

Profession
cultivateur
1911 (Âge 19 ans)
Décès 14 novembre 1914 (Âge 23 ans)
Adresse : Hôpital auxiliaire 34
Cause du décès : Mort pour la France des suites de blessures
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père
mère
frère
Détails privés
sœur
Détails privés
frère plus âgé
Ernest Louis BEAUSSIER
Naissance : 22 mai 1877 25 25Savonnières, 37243, Indre-et-Loire, Centre, France,
Décès : 17 août 1877Savonnières, 37243, Indre-et-Loire, Centre, France,
sœur
Détails privés
frère
Détails privés
frère plus âgé
Henri Auguste BEAUSSIER
Naissance : 1 décembre 1888 37 37Savonnières, 37243, Indre-et-Loire, Centre, France,
Décès : 13 juillet 1890Savonnières, 37243, Indre-et-Loire, Centre, France,
2 ans
lui
Emmanuel Augustin BEAUSSIER
Naissance : 8 mars 1891 39 39Savonnières, 37243, Indre-et-Loire, Centre, France,
Décès : 14 novembre 1914Compiègne, Oise

Militaire

Incorporé à compter du 09/10/1912 au 94è RI. Passé au 1er R de Zouaves le 10/09/1913. Parti et rayé des controles le 01/10/1913. Incorporé au 1er R de zouaves à compter du 01/10/1913 (RZM). Opérations militaires dans le Maroc occidental (en guerre) du 04/10/1913 au 30/08/1914. Contre l'Allemagne du 31/08/1914 au 14/11/1914. Blessé le 03/11/1914.(probablement lors de la première bataille d'Ypres, en belgique). Décédé le 14/11/1914, hôpital auxiliaire n° 34 à Compiègne.

Militaire

L'hôpital auxiliaire 34, dit de La Compassion

Cet hôpital de la Croix Rouge dépendant de la Société de Secours aux Blessés Militaires était situé au 18 rue de la Sous-préfecture, à l'emplacement actuel de l'école Sévigné. Hilarion Ligouzat le décrit ainsi : « Il se compose de deux parties distinctes, un bâtiment mitoyen à d’autres constructions accolées, en façade sur la rue de la sous-préfecture et où la Société de Secours aux Blessés Militaires avait dès letemps de paix un dispensaire école aux salles de visite, de stérilisation, de pansements, d’opérations ; un autre bâtiment en retrait séparé du précédent par une cour et formant une aile dans des constructions occupées par une communautéreligieuse. » (sœurs de La Compassion, voire ci-après). « Le dispensaire, sans aucune modification notable a servi d’atelier chirurgical. Il était sans luxe mais non sans confort, salles peintes à l’huile, claires, chauffées à la vapeur sous basse pression avec toutefois un éclairage médiocre ». « Les salles d’hospitalisation proprement dites servaient à un ouvroir ; pour y loger les 50 lits prévus il a fallu les sur peupler ; il convient de dire qu’une ventilation facile compenserait en quelque manière les imperfections de locauxd’aille urs agréables. » « Il reçoit les grands blessés justiciables d’interventions complexes. » Pour cela, l’ambulance 8/13 a détaché un officier chirurgien à La Compassion et le professeur agrégé de médecine Langlois, envoyé depuis Paris, y a passé une huitaine dejour s.